La nouvelle gamme des sirops Monin

« Ca ne se boit pas, ça se sirote », s’exclame Philippe, pilier de bar parisien et journaliste. Flacons favoris des barmans de France, les sirops Monin sont devenus au fil du temps les « indispensables » de la profession.

Les sirops Monin existent depuis 1912. À moins de cinquante ans, Olivier Monin est le digne héritier d’un savoir-faire familial qui remonte à 1912 quand Georges Monin fondait son entreprise. « Avec plus de 100 parfums différentes diffusés dans cent pays, confie-t-il, Monin offre autant de possibilités que nos clients ont d’imagination. » Diversification oblige, Monin a monté une unité de production en 1996 en Floride, puis en 2005 a ouvert un bureau à Singapour, avant Dubaï en 2007. À son actif, des sirops des sauces et des liqueurs. Point commun à ces trois marchés : la qualité.

Le chef Thierry Finet s’amuse à siroter. Ainsi, l’équipe de Monin a demandé au chef étoilé Thierry Finet (« Le Piet à terre » à Chateaumeillant, dans le Cher), de concocter des recettes qui intègrent l’ensemble de la gamme des sirops. Dans ses créations, il remplace le sucre par du sirop. Quand il prépare une crème aux œufs, il accompagne 800 ml de lait froid, 8 œufs entier et une gousse de vanille, de 200 ml de sirop Monin, au choix : Matcha (nouvelle référence), citron vert, banane verte , mangue ou abricot. Et le conseil ultime : « Pour donner encore plus de caractère, nappez la crème avec un autre sirop que vous aurez préalablement caramélisé. »
Idem pour les entrées : Thierry Finet suggère d’utiliser avec des tomates un « jus cuisiné » à base de sirop de citron vert, pamplemousse ou gingembre ; avec des pommes de terre, un « jus cuisiné » à base de sirop de gingembre ou de pomme verte ; et avec des poivrons, sur une base de sirop de melon.

Mais le chef a plus d’un tour dans son sac car il est inépuisable avec une cuisine au wok, une mousseline de poisson ou de viande, une soupe de fruits ou un fondant au chocolat.

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