Consommation responsable des océans au dressing

Pediconfort : les Baskets recyclées
à partir de déchets des océans

Pédiconfort, la marque française de chaussures confortables pour tous les pieds, sort pour cet été d’incroyables baskets éco-responsables dont la toile a été recyclée à partir de déchets des océans grâce à la technologie SEQUAL.

A la fois souples et ultra confortables ces baskets ont été sélectionnées et sont le coup de cœur de l’équipe féminine de football du LOSC.
Idée fantastique, ces chaussures 100% recyclées sont aussi éthiques que confortables pour les pieds les plus délicats !
Testé et approuvé !

Existe en bleu jean, blanc et jaune à partir de 59,99 euros
Du 36 au 41
Toile technologie SEQUAL, semelle en élastomère avec effet transparent.
Possibilité d’y intégrer ses propres semelles
Les baskets Pédiconfort sont en vente sur www.daxon.f

Impetus : bien dans son caleçon !

 
Chez Impetus, le maître-mot est : responsabilité environnementale !
Leurs tissus sont déjà fabriqués en fibres recyclées, mais la marque suit le processus de A à Z.
« Tous nos processus de production sont conçus et exécutés de manière à réduire notre empreinte environnementale et notre consommation d’énergie »
 
Toutes nos installations de production disposent de systèmes de traitement d’eau intégrés,  qui  contrôlent les émissions gazeuses et utilisent la biomasse pour produire de l’eau chaude. Les critères de notre plan d’investissement annuel se concentrent sur les machines les plus efficaces et les processus les plus respectueux de l’environnement. Nous avons installé des panneaux photovoltaïques sur la majeure partie de notre superficie industrielle.
 
Nous avons récemment remplacé 80% de nos voitures  par des voitures électriques et hybrides rechargeables fonctionnant avec  l’énergie produite par nos panneaux solaires. Notre engagement est certifié par le système international Bluesign.
 
Chez IMPETUS, notre stratégie est motivée par la  durabilité, qui se reflète dans la manière dont nous créons et produisons nos produits et dans la manière dont nous gérons les déchets générés.
Mode, créativité et communication au service de la communauté et de la durabilité : la philosophie des valeurs IMPETUS.
 
Pour IMPETUS, être une marque signifie être engagé . 
Un engagement à l’avant-garde pour répondre à l’exigence de nouvelles fonctionnalités dans les produits. Engagement pour la durabilité environnementale, transversal dans toutes les activités du Groupe, qui se manifeste notamment dans le pari industriel de dernière génération avec des fibres éco-durables et dans la démarche écologique des avec  matières traditionnelles comme le coton biologique, dont les procédés sont certifiés écologiquement et socialement.
 

Fish4ever

Marque de pêche à la ligne, Fish4ever nous prouve que c’est presque la seule solution éthique digne de ce nom. En tout cas, elle nous démontre que seule la pêche artisanale est admissible et peut sauver nos océans.
Nos dirigeants sont très forts pour des prêchi-prêcha ineptes concernant l’écologie mais aucun des vrais problèmes n’est traité et résolu depuis des décennies.
On vous explique pourquoi.

Bien sûr, les produits sont bons. Le thon en boîte est délicieux, les recettes telles que Pâtés aux algues, Ventrèche, cocktail de fruits de mer, sardines, maquereaux, thon, saumon… et autres pâtés de la mer raviront les gourmets les plus exigeants.

Mais ce qui préoccupe la jeune société Fish4ever, c’est l’origine de la matière première et la protection des océans.

Comme eux, nous voulons soutenir une Pêche démocratique, participative, écologique et socialement positive. Comme celle pratiquée aux Maldives avec la pêche à la canne.

Qui sont-ils ?

Charles Redfern est le fondateur de Fish4ever, conserves de poisson issu de la pêche responsable. Depuis plus de 20 ans, Fish4ever applique les valeurs de la bio à la pêche durable. 

Pourquoi cette démarche ?

Un film comme  Seaspiracy l’explique bien.
 « Sans surprise, le nouveau documentaire Netflix Seaspiracy , sur la pêche industrielle a pour but de choquer.
Et incontestablement, les statistiques sont choquantes : Aujourd’hui, environ 2.7 milles milliards de poissons sont pêchés chaque année, jusqu’à 5 millions sont tués toutes les minutes par les flottes industrielles. Les filets des plus gros chalutiers pourraient engloutir des cathédrales entières et détruire 3.9 milliards d’hectares de fonds marins tous les ans. Pêcher de cette façon engendre énormément de prises accessoires : 11 000-30 000 requins seulement sont tués toutes les heures. La main d’œuvre ne coute pas cher, l’esclavage moderne est endémique et presque 24 000 travailleurs meurent – ou sont tués – chaque année.
Malheureusement, rien de nouveau : en effet le film de Charles Clover the End of the line, sorti en 2009, exposait déjà la plupart de ces problèmes. Le massacre des dauphins au Japon avait déjà été mis en lumière en 2009 dans The Cove. Les scènes sur la pêche illégale et l’esclavage dans la pêche aux crevettes en Thailande et la pêche artisanale sur la côte Africaine, sont le fruit des recherches de l’Environmental Justice Foundation (EJF) – La fondation pour une justice environnementale.
Et ce n’est que la pointe émergée de l’iceberg. Seaspiracy est un film d’horreur qui se termine avec un bain de sang disproportionné dans les Iles Féroé, telle une bataille de Vikings. 
Mon problème avec Seaspiracy est le manque de transparence sur son origine. C’est un film végan, produit par des activistes végans et financé par Dale Vince, un multimillionnaire végan. Seaspiracy conclut de manière douteuse en mettant en avant des produits alternatifs.
L’entreprise fabrique ces produits probablement à partir de soja génétiquement modifié et une liste interminable d’additifs, d’arômes artificiels et d’ingrédients de remplissage.

Pourquoi continuons-nous à autoriser ces pratiques ?

La réalité, comme le documentaire l’indique, est que l’industrie bénéficie de généreuses subventions, jusqu’à 35 milliards de dollars, de la part des gouvernements et les labels prétendument « responsables » ne valent rien.
Nous avons passé de nombreuses années à nous battre contre ce que le MSC représente et que nous considérons être de la fausse information et du greenwashing. J’ai même été expert témoin auprès Parlement britannique pour une investigation contre le MSC.
Environ 80% du revenu du MSC, qui s’élève à 30 millions de livres, provient des marques certifiées. Une fois de plus, respecter nos principes nous défavorise car on continue de répéter aux consommateurs qu’il s’agit du logo de référence.

L’engagement de la marque  et le vôtre !
. Nous travaillons avec des petites marges car nous valorisons le prix véritable. Nous pouvons alors
être certains que notre poisson arrive dans vos assiettes :
• Sans prises accessoires
• Sans impact sur les fonds marins 4
• Sans pêcher ni impacter les espèces en voie de disparition : dauphins, baleines, requins – nous ne les touchons pas
• Sans pêche illégale
• Sans esclavage, sans violation des droits de l’homme : nous soutenons les bateaux locaux et les communautés de pêcheurs
• Sans ingrédients bizarres ou chimiques – mais beaucoup d’ingrédients bio !
« J’ai besoin des consommateurs verts. C’est déjà assez difficile pour le pêcheur local sur son petit bateau de bien gagner sa vie. Si les consommateurs éthiques laissent tomber, il ne reste plus que les consommateurs moins attentifs. Eux continueront d’acheter les conserves de thon prétendument « dolphin friendly » et nos produits disparaîtront. »

Soyez le premier à commenter

Poster un Commentaire

Votre adresse de messagerie ne sera pas publiée.


*


Ce site utilise Akismet pour réduire les indésirables. En savoir plus sur comment les données de vos commentaires sont utilisées.