L’excellent bilan pornographique de Valérie Pécresse et de la région IDF

Une fois n’est pas coutume, nous avons décidé de laisser la parole à une association luttant contre la pornographie qui pourrit l’esprit de nos jeunes et détruit tout un pan des relations en société, conduisant même parfois à des actes criminels. Tout cela en IDF grâce au soutien de Valérie Pécresse et avec l’argent du contribuable !
La sexualité est de l’ordre du privé et de l’intime et non un sujet à déballer sur la table à tout propos, au mépris des sensibilités et de la pudeur de chacun.
Cette promotion de l’hypersexualité jusqu’à la nausée, cette réification des corps, est une  atteinte grave à la dignité humaine et une méconnaissance réelle de ce qu’est vraiment la sexualité.
A l’heure du « Me too » et de la révélation des méfaits divers causés par une sexualité débridée et sans freins, nous nous devions de donner la parole à ceux qui luttent pour la dignité humaine.

 

Exemple de contenus du Planning « familial » pour les jeunes filles dont la santé physique et psychique est en jeu, tout cela dans le dos des parents.
Ainsi, à propos d’un sujet aussi grave que l’avortement, qui est une possibilité mais pas du tout promu par Simone Veil comme un acte « bénin » : « quand on est mineur il faut une personne majeure, mais on n’est pas obligé d’en parler à ses parents », « si jamais y a pas, on trouvera toujours un moyen pour avoir accès à

l’IVG en France, ça faut pas se faire de soucis »), IVG médicamenteuse, IVG chirurgicale (« on va aspirer le contenu de l’utérus »), « l’IVG ne rend pas du tout stérile, il n’y a aucun risque, on peut pratiquer un ou plusieurs IVG il n’y a vraiment aucun soucis ».

On admire le style, la délicatesse, cette manière de s’adresser aux jeunes comme à des débiles.
On admire la pratique de la désinformation du Planning « familial » qui incite à la dissimulation envers les familles et incite des mineurs à des pratiques qui ne sont pas de leur âge et incite ensuite à poursuivre par des actes médicalisés et donc forcément, dangereux, en les minimisant !

Si la chloroquine est quasi sans danger, la pilule abortive n’est, elle, pas du tout anodine ! Et ne parlons pas de l’avortement qui n’est pas une partie de plaisir et peut comme tout acte invasif, comporter des risques !

Bravo Madame Pécresse pour votre soutien à ce contenu gerbatoire, pour rester dans le registre de nos institutions, tout cela nous laisse sur le c… ! ! 20201205-CRIPS-compressé.pdf (stopauporno.fr)

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Bravo à Valérie Pécresse et à toute son équipe ! Alors que s’achève leur mandat en Ile-de-France, Liberté Politique et Stop au porno tiennent à souligner leur admirable bilan en matière de promotion de la pornographie. Retour sur cet exploit accompli en si peu de temps.

Les Solidays, le Festival du porno

Le contribuable sera heureux de savoir qu’il a financé à hauteur de 800 000€ par an les Solidays. Ce festival de musique, qui récolte des fonds pour « la lutte contre le sida », est très fréquenté par la jeunesse francilienne. Sur les stands de ce festival engagé, on trouve des préservatifs – distribués par Durex, et des tracts pour aborder le sexe, « sans tabous ».

Le climax de la fête a été atteint en 2019 avec les expos « Happy Sex » et « Sex in the City ». Dans la première, on pouvait admirer des planches de dessins pornographiques sur lesquelles un « diplômé youporn » (référence à un site pornographique) insulte une jeune femme et reçoit une faveur sexuelle, et où un couple s’adonne à des pratiques sadomasochistes.

Dans la seconde exposition, déconseillée aux moins de 16 ans non-accompagnés (donc librement accessibles aux mineurs), le festivalier pouvait suivre un parcours de conseils sur la sexualité : initiation à la masturbation sous toutes formes, seul ou à plusieurs, invitation à l’utilisation de jouets sexuels, car il faut faire de son corps « une machine à plaisir » (sic), et autres conseils du même acabit, considérant que les « pistes pour l’exploration du plaisir et du désir sont infinies ».

Nous mettons ces éléments à la disposition du lecteur (attention images choquantes) ICI.

Nos félicitations à l’égard de Valérie Pécresse et de son équipe seraient certainement incomplètes si nous n’évoquions pas le CRIPS !

Le CRIPS, ou les « bonnes » pratiques sexuelles

La région Ile-de-France finance aux 2/3, et à hauteur de 3 millions d’euros par an le CRIPS (Centre régional d’information et de prévention du sida et pour la santé des jeunes), qui est un « acteur reconnu de la prévention et de la promotion de la santé » (sic). Dans son rapport d’activité 2019, qui contient d’ailleurs une belle photo de Valérie Pécresse, couverte d’éloges pour son « discours d’ouverture réaffirmant avec force son engagement », le CRIPS revendique plus de 100 000 bénéficiaires de ses actions. Parmi lesquels nous pouvons compter des lycéens, des apprentis, des collégiens… et des écoles primaires !

D’aucuns pourraient croire que nous ironisons sur les prouesses de notre région en matière de propagande sexuelle : leur intuition va surement être renforcée par ce qui suit.

Ces dernières années, le CRIPS a produit une série de documents pour former les jeunes à la sexualité. A défaut de tous les évoquer, parlons au moins du « Cocktail de plaisir », renommé « Milkshake de plaisir » en 2021, jeu de cartes, dont l’une des compétences mobilisées est la « pensée créative » (sic), qui consiste à imaginer la chronologie d’un rapport sexuel avec tous les détails que cela comprend. Les cartes de jeu, distribuées aux collégiens et lycéens, détaillent par le menu tous les gestes que l’on n’a pas besoin d’imaginer.

Le CRIPS tient également une chaîne Youtube intitulée « atelierprev ». Une vidéo dont le thème est l’orgasme, évoque les « personnes à vulve » et les « personnes à pénis » pour ne pas avoir à prononcer les mots « femme » ou « homme ». Et une autre vidéo, dédiée à l’intersexualité, annonce que les participants vont « beaucoup déconstruire l’hétérosexualité ». Un programme, sans idéologie aucune ! Au moins, le contribuable peut se réjouir de la bonne utilisation de ses deniers.

Enfin, et pour tous ceux qui sont plutôt auditifs, le CRIPS a produit une série de podcasts, sobrement intitulée « Sur du cul ». Le lecteur peut facilement en imaginer le contenu.

Nous mettons à nouveau ces éléments (sous forme de capture d’écran) à la disposition du lecteur ICI.

Notons que certains contenus ont été supprimés à l’approche des élections régionales. Ce que nous croyons évidemment fortuit, alors que seule une poignée de conservateurs ose encore contester le bienfait de ces contenus éducatifs !

Le contribuable francilien n’avait sûrement pas connaissance de tous ces éléments, et cela est bien regrettable : Valérie Pécresse et son équipe* ne devraient pas rougir d’un si bon bilan ! La pornographie a de beaux jours devant elle.

Encore une fois, bravo à nos élus !

Bien fidèlement,

François Billot de Lochner, président de Liberté Politique, France Audace et Stop au porno

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