Antonio Guterres, secrétaire général des Nations Unies vient de déclarer :
« Brandissant l’épidémie comme prétexte, les autorités de certains pays ont pris des mesures de sécurité sévères et des mesures d’urgence pour réprimer les voix dissonantes, abolir les libertés les plus fondamentales, faire taire les médias indépendants et entraver le travail des ONG ».
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