L’Atlantide de Jérôme Leroy, ce sont de beaux seins de filles sur une plage bleue et boire de l’alcool sans limite.
C’est découvrir un inédit de Marvin Gaye, faire un tour en Studebaker Hawk Gran Turismo en compagnie de Marx, Rimbaud et Pasolini ; c’est une époque révolue qui sonne le glas de sa jeunesse.
C’est fragile et léger, à l’image de ce petit poème :
Les grands nus américains
Ont les contours très exacts
Du monde d’avant
Les grands nus américains
Savent qu’ils portent en eux
La fin du monde
Du monde d’avant.
Jérôme Leroy, Un dernier verre en Atlantide, La Table Ronde, 14€.
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