Pediconfort : les Baskets recyclées
à partir de déchets des océans
Pédiconfort, la marque française de chaussures confortables pour tous les pieds, sort pour cet été d’incroyables baskets éco-responsables dont la toile a été recyclée à partir de déchets des océans grâce à la technologie SEQUAL.
A la fois souples et ultra confortables ces baskets ont été sélectionnées et sont le coup de cœur de l’équipe féminine de football du LOSC.
Idée fantastique, ces chaussures 100% recyclées sont aussi éthiques que confortables pour les pieds les plus délicats !
Testé et approuvé !
Existe en bleu jean, blanc et jaune à partir de 59,99 euros
Du 36 au 41
Toile technologie SEQUAL, semelle en élastomère avec effet transparent.
Possibilité d’y intégrer ses propres semelles
Les baskets Pédiconfort sont en vente sur www.daxon.f
Impetus : bien dans son caleçon !
Leurs tissus sont déjà fabriqués en fibres recyclées, mais la marque suit le processus de A à Z.
Fish4ever
Marque de pêche à la ligne, Fish4ever nous prouve que c’est presque la seule solution éthique digne de ce nom. En tout cas, elle nous démontre que seule la pêche artisanale est admissible et peut sauver nos océans.
Nos dirigeants sont très forts pour des prêchi-prêcha ineptes concernant l’écologie mais aucun des vrais problèmes n’est traité et résolu depuis des décennies.
On vous explique pourquoi.
Bien sûr, les produits sont bons. Le thon en boîte est délicieux, les recettes telles que Pâtés aux algues, Ventrèche, cocktail de fruits de mer, sardines, maquereaux, thon, saumon… et autres pâtés de la mer raviront les gourmets les plus exigeants.
Mais ce qui préoccupe la jeune société Fish4ever, c’est l’origine de la matière première et la protection des océans.
Comme eux, nous voulons soutenir une Pêche démocratique, participative, écologique et socialement positive. Comme celle pratiquée aux Maldives avec la pêche à la canne.
Qui sont-ils ?
Charles Redfern est le fondateur de Fish4ever, conserves de poisson issu de la pêche responsable. Depuis plus de 20 ans, Fish4ever applique les valeurs de la bio à la pêche durable.
Pourquoi cette démarche ?
Un film comme Seaspiracy l’explique bien.
« Sans surprise, le nouveau documentaire Netflix Seaspiracy , sur la pêche industrielle a pour but de choquer.
Et incontestablement, les statistiques sont choquantes : Aujourd’hui, environ 2.7 milles milliards de poissons sont pêchés chaque année, jusqu’à 5 millions sont tués toutes les minutes par les flottes industrielles. Les filets des plus gros chalutiers pourraient engloutir des cathédrales entières et détruire 3.9 milliards d’hectares de fonds marins tous les ans. Pêcher de cette façon engendre énormément de prises accessoires : 11 000-30 000 requins seulement sont tués toutes les heures. La main d’œuvre ne coute pas cher, l’esclavage moderne est endémique et presque 24 000 travailleurs meurent – ou sont tués – chaque année.
Malheureusement, rien de nouveau : en effet le film de Charles Clover the End of the line, sorti en 2009, exposait déjà la plupart de ces problèmes. Le massacre des dauphins au Japon avait déjà été mis en lumière en 2009 dans The Cove. Les scènes sur la pêche illégale et l’esclavage dans la pêche aux crevettes en Thailande et la pêche artisanale sur la côte Africaine, sont le fruit des recherches de l’Environmental Justice Foundation (EJF) – La fondation pour une justice environnementale.
Et ce n’est que la pointe émergée de l’iceberg. Seaspiracy est un film d’horreur qui se termine avec un bain de sang disproportionné dans les Iles Féroé, telle une bataille de Vikings.
Mon problème avec Seaspiracy est le manque de transparence sur son origine. C’est un film végan, produit par des activistes végans et financé par Dale Vince, un multimillionnaire végan. Seaspiracy conclut de manière douteuse en mettant en avant des produits alternatifs.
L’entreprise fabrique ces produits probablement à partir de soja génétiquement modifié et une liste interminable d’additifs, d’arômes artificiels et d’ingrédients de remplissage.
Pourquoi continuons-nous à autoriser ces pratiques ?
La réalité, comme le documentaire l’indique, est que l’industrie bénéficie de généreuses subventions, jusqu’à 35 milliards de dollars, de la part des gouvernements et les labels prétendument « responsables » ne valent rien.
Nous avons passé de nombreuses années à nous battre contre ce que le MSC représente et que nous considérons être de la fausse information et du greenwashing. J’ai même été expert témoin auprès Parlement britannique pour une investigation contre le MSC.
Environ 80% du revenu du MSC, qui s’élève à 30 millions de livres, provient des marques certifiées. Une fois de plus, respecter nos principes nous défavorise car on continue de répéter aux consommateurs qu’il s’agit du logo de référence.
être certains que notre poisson arrive dans vos assiettes :
• Sans prises accessoires
• Sans impact sur les fonds marins 4
• Sans pêcher ni impacter les espèces en voie de disparition : dauphins, baleines, requins – nous ne les touchons pas
• Sans pêche illégale
• Sans esclavage, sans violation des droits de l’homme : nous soutenons les bateaux locaux et les communautés de pêcheurs
• Sans ingrédients bizarres ou chimiques – mais beaucoup d’ingrédients bio !
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