Le 4 décembre, le gouvernement a annoncé le plan 2023-2026 de « représentation mixte des jouets ». Leur objectif ? Lutter contre les « stéréotypes sexistes » et favoriser « une culture de l’égalité ».
Ce n’est pas simplement une histoire de jouets. Il s’agit du droit de laisser les filles être des filles et les garçons être des garçons. Le gouvernement parle comme s’il contribuait au progrès, mais en réalité, il perturbe le développement naturel de nos enfants.
« Un camion ? Regarde maman, tu as mélangé mon cadeau avec celui de William ! Il a ma poupée ».
« Ma chérie, ce Noël est différent. À partir de maintenant, plus de poupées pour toi ni de camions pour ton frère. C’est trop stéréotypé. »
« Mais je voulais une poupée. »
« Je déteste cette poupée, rends-moi mon camion ! Et mon pistolet que tu m’as promis pour Noël, maman ? » « Plus de pistolets, mon ange. Ils sont toxiques pour ton esprit. »
Cela pourrait bientôt être notre réalité si nous ne réagissons pas et si nous n’agissons pas rapidement.
Alors que l’égalité des sexes en termes de droits est indéniable, imposer une idéologie transgenre qui brouille les différences biologiques fondamentales est absurde. Les enfants apprennent le genre en suivant l’exemple de leurs parents, pas celui du gouvernement.
Avec votre soutien, nous pouvons défendre les valeurs que nous chérissons, en veillant à ce que nos enfants grandissent en confiance dans leur identité, libres de toute confusion imposée.
Les garçons et les filles devraient être fiers de qui ils sont, heureux de déballer des jouets qui résonnent avec eux, et non ce que le gouvernement juge approprié.
Les enjeux n’ont jamais été aussi élevés. Si le gouvernement réussit, qu’est-ce qui suivra ? Des lois, cette-fois-ci congraignantes, imposant une éducation centrée sur l’idéologie du genre. Dans certains pays, comme les États-Unis, l’endoctrinement précoce conduit à des décisions irréversibles comme les chirurgies de changement de sexe, suivies d’une vie de regret.
Mais il y a une autre voie. Ne laissons pas l’avenir de nos enfants être dicté par des politiciens déconnectés.
Poster un Commentaire